Finissage

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Derniers jours, quelques noix sur la table de l’atelier.

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Une exposition de Pierre-Yves Gabioud est une expérience pleine d’humanité; les visiteurs se pressent, collectionneurs, écrivains, amis se mêlent aux montagnards, aux poètes, aux voisins, et tous, curieux et reconnaissants, veulent emporter la trace du regard qui célèbre leur paysage, territoire, destinées, festin.

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Pierre-Yves Gabioud, fusain, crayon comté, monotype.. La dernière exposition de la saison revient aux sources d’un dessin qui cherche ses marques dans la réalité du paysage et qui, parfois, se retrouve bien au-delà du visible..

Automne

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Le jardin s’en mêle..

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Le jardin s’en mêle.. Cette exposition est une conversation intime entre la peinture et le paysage.

Pour mettre en espace la nouvelle exposition de Martin Mc Nulty, nous avons toute la semaine et des sacs pleins de petites et grosses pièces sculptées, taillées, coulées.. Des mètres de lignes à composer, des milliers d’options..

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Les Song Lines avancent sur les murs et s’y enroulent. Nous travaillons avec les rythmes particuliers à l’architecture du lieu.

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De la sculpture suspendue au mur, le matin..

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De la sculpture cachée dans la glycine, pour voir..

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Michael Kimber de l’ECAV présente une performance inédite, Dénivelation Paris-Martigny 415 m, le soir du vernissage; une réflexion d’alpiniste autour de la carte et du territoire qui conduit ce jeune artiste à éprouver physiquement, à travers le chargement de 415 m de corde sur ses épaules, la différence d’altitude entre les deux lieux.

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Au fur et à mesure du geste répétitif par lequel il charge la corde, le corps de
Michael Kimber se transforme, ploie et fatigue; mais c’est à travers son effort d’endurance que le spectateur éprouve la réalité de cette mesure géographique.

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Michael Gunzburger se souvient de Paris.. Réminiscences et geste sûr, les croquis jaillissent du fond de la mémoire avec la marge d’erreur que les distances, espace et temps, justifient avec poésie.

Renouant avec les cartographies immaculées de ses dessins aux poinçon, Sophie Bouvier Aüslander expose littéralement l’envers de la peinture, l’intérieur de sa peau. Gaëlle Chotard dessine en résilles de métal les courbes en réseau d’un paysage imaginé.

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Jeremy Liron pratique une peinture franche et descriptive, où les bâtiments aux fortes architectures occupent jusqu’aux ciels l’espace de la toile. Arrêts sur image, suspension du cadrage.

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Mingjun Luo peint une campagne bernoise, Cannelle Tanc découpe une carte de Pékin et Sophie Bouvier Ausländer dégonfle un monde tissé de lanières de cartes géographiques. No comment.

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Cannelle Tanc est au coeur du propos: les cartes des villes découpées, délestées de leurs bâtiments, transformées en réseaux de dentelles menant d’un espace vert à un plan d’eau, à voir en transparence ou en volume, et des polygones dymaxion.

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Vue ouest: Mingjun Luo et les réminiscences d’une enfance en Chine; topographie de la mémoire, peinture blanche couleur de deuil sur la toile brute. En boule, les lanières de peinture de Sophie Bouvier Ausländer, Hypothèse. A gauche, Cannelle Tanc.

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Paris-Martigny | Concert

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Concert de mars: Jeanne Gollut à la flûte de pan, Julie Sicre à la harpe.